arrive en pleurs dans sa chambre

Quelle sotte je fais comment ais je pu espérer....Je suis vraiment sotte...Ahhh....il vaut mieux que l'on m'oblie, que je parte! celà vaut mieux pour tous.
*Aussi tout en marchant lentement, elle rassembla ses affaires comme un automate, griffonna un mot qu'elle posa sur la coiffeuse, puis s'affala sur le lit et pleura de toutes ses larmes,elle entreprit de faire un brin de ménage pour rendreles appartements propres, mais elle était tellement triste qu'elle sentit la fatigue lui monter aussi elle dit*
Tant pis les servants le feront....
*Elle s'apprête a quitter les lieux, ouvre la porte quand elle se heurte a quelqu'un?*

le visage du Duc avait perdu sa joie habituelle. En voyant les yeux de Pauline creusés par les larmes, il se sentit encore plus coupable. Il baissa les yeux et vit le bagage que Pauline tenait à la main.
Mademoiselle, que cela signifie-t-il? Vous n'allez pas nous quitter? Pas à cause de moi? Je suis venu m'expliquer avec vous. La franchise est l'une des vertues que l'on m'a enseigné, et je sais maintenant que vous avez eu le même enseignement que moi. Je vous en prie mademoiselle, laissez-moi porter votre bagage à votre chambre et tentons de parler comme des adultes, ce que nous sommes vous et moi n'est-ce pas?

*Pauline le regarda*
Monsieur a quoi bon....En m'obligeant a rester les gens colporteront des ragots sur votre compte par...par ma faute...je...je préfère m'en aller, *
mais toute force l'a abandonnée, et elle ne cherche même pas a usé de so ntempéramment rebelle. Ellle se laisse guider sur son lit, et s'apprête a écouter le duc.*

(hj: je t'en prie Schtroumpfette enlève moi cette horrible peinture!!!!!!!!!!)
le Duc s'agenouilla devant Pauline. Il savait qu'en tant que fils du Roi, il ne devait se montrer en position d'infériorité, mais à cette instant, il n'y avait plus de prince ni de courtisanes, et le duc ne se sentait plus un enfant.
Mademoiselle, je sais que je vous ai froissé ce soir. Mais jamais votre présence à mes côtés ne pourrait me faire le moindre tort! Et je n'est que faire de ce que les gens peuvent penser. Les gens parlent de toute façon! Je vous en prie mademoiselle, pardonnez mon indélicatesse lors de ce bal. Restez à Versailles. Même si vous refusez dans le futur de m'adresser la parole, restez!

Le Roi qui avait suivit le Duc depuis qu'il avait quitté le bal se tenait derrière la porte laissée entre-ouverte et avait tout entendu du discours de son fils. Sentant la colère monter en lui, il fit un pas en arrière mais cogna son pied contre une table.

Le duc, toujours à genous devant Pauline, leva la tête. Dans le miroir de la coiffeuse de la jeune fille, il vit le reflet de son père derrière la porte:
Sire? M'espionnez-vous?

le Roi avait un regard froid, le genre de regard qu'il n'est pas bon d'avoir de porté sur soi. Il ouvrit complètement la porte, fit un pas à l'intérieur et s'adressa, d'un calme inquiétant, au duc:
Jeune homme, veuillez me suivre expressement jusque dans mes appartements. J'ai à vous parler. Mademoiselle de Saint Béryl...
Le Roi salua Pauline et fit demi-tour. après avoir fait quelques pas dans le couloir, il s'arrêta, sans se retourner, pour attendre le Duc.

le Duc se leva sans dire mot, regarda Pauline, et suivit son père.

*Se précipite dans la pièce, après avoir assisté à la scène. Voit le Roi, mais, oubliant toute dignité, s'écrie :*
Pardonnez-moi de faire acte d'impudence, Majesté.
Mlle de Saint Béryl! Ainsi, vous voudriez nous quitter! Oh, pitié, non! J'avoue avoir aussi voulu partir pour des broutilles, mais c'est vous, vous et nos ami(e)s qui m'avez indirectement convaincue de rester! Restez, s'il vous plaît! Tout le monde ici vous estime et nous avons besoin de vous!!!
*Puis regarde le Roi : il a l'air furieux.*
<Oups! Je comprends cela! Je n'ai plus qu'à m'enfuir dans ma chambre, attendre la tempête...>
*Et, avec une courbette très rapide, elle s'enfuit à toute jambes.*
<Me voilà bien! C'est moi que le Roi va exiler! Enfin, si cela peut convaincre Mlle Pauline de rester...>

*Arriva en courant dans le couloir, vit le roi et se stoppa*
*révence*
Sire ... Messire le Duc ...
*rentra dans la chambre de Mlle de Saint Béryl et vit les bagages*
Vous ... vous ... n'allez tout de mêm pas nous quitter ainsi ?

s'il doit en etre ainsi je partirais
*discrètement,elle jette un regard triste au duc*

*s'emporta*
Non ! Vous ne partirez pas ! Votre place est ici à Versailles !!
*se tourna vers le roi et le duc*
Excusez moi pour se langage ...
*révérence*
¤Je vais m'apporter des ennuies moi¤

Le Roi lancea un regard furieux à la demoiselle.
Ainsi vous faites irruption dans des affaires royales sans y avoir été conviée! Vous feriez bien de fuir aussi vite que Melle de l'Agate vient de le faire! Cette attitude ne restera pas sans suite!
Il prit le duc par l'épaule et l'entraîna vers ses appartements privés.

HJ : mdrrrrrr !

*très gêner*
Bien Sire ...
*révérence*
*lança un regard un Pauline et s'en va en courant*

*Pauline reste donc seule,grelottante,secouée de sanglots*
Qu'ai je fait?Mais qu'ai je fait?
*se prend la tête dans les mains*

D'Artagnan passait par là seul quand soudain il voit et entends le roi partir.

*Mon Dieu que se passe t-il ?*

*Olympe était resté dans le couloir se cachant en attendant que le roi s'en aille pour aller voir Mlle de Saint Béryl quand le roi passa devant elle et qu'elle vit qu'il ne pouvait plus la voir, elle courut la rejoindre*

*affolée*
Mademoiselle, je suis désolée ...

*essuye ses larmes*
Ce....Ce n'est pas votre faute! c'est entièrement la mienne
*essaye de sourire malgré ses larmes*

*Arrive en courant aussi, revenant de ses appartements.*
Oui! Dites-nous tout!
*Se tourne vers Olympe.*
Je dois vous dire que j'ai, de loin, admiré votre témérité de tout à l'heure! Vous n'avez pas fui après avoir failli aux règles de l'étiquette! Bravo!

euh et bien.....en fait....
*Paulien rougit*
Au début voyez vous je considérais le duc comme un simple ami rien de plus!et puis, au fur et a mesure, je me suis aperçue que j'avais des sentiments pour lui,et le roi lui ne veut pas de la moindre union, le duc quand à lui n'a pas l'air de savoir trop où il en est, et lorsque je lui ai demandé si les pensées du roi était fondées, il m'a répondu que non. Et là, là...j'ai touy gaché!
*hoqueta t-elle*
Je me suis conduite comme une petite fille sotte et gatée et je me suis enfuie.Le duc, m'a suivie, et le roi, voyant que le duc me suivait nous a quand a lui suivit. Et...Et..il a écouté toute la conversation que me tenait le duc, puis lorsque le duc a aperçut son père il lui a demandé s'il l'espionnait et moi, j'ai tout gaché! si le duc a des ennuis ce sera de ma faute!Je suis si bête

HJ moi je devrais faire carrière dans le cinéma!

*Se ravise. Oublierait-elle la voie de la sagesse?*
Hum.
*Rougit.*
Mademoiselle Pauline, comptiez-vous vraiment nous quitter? Si le Roi s'oppose à ce que vous restiez, nous lui ferons savoir que nous ne sommes pas du même avis!
<Puisque j'ai fait mauvaise impression devant Sa Majesté, autant continuer! De toutes façons, tout est fichu. Le Roi va sans doute me bannir et me jeter à la rue, pour cette impolitesse de la part d'une jeune fille encore étrangère!>

*Puis réagit avec étonnement au récit de Pauline.*
Des sentiments... Pour le duc?! Jamais je n'aurais cru que... Mais... et...
HJ Diplômée ex fausses crises d'hystérie!

HJ : mdrrr !

*remercia mlle de l'agate pour le compliment qu'elle lui avait fait*
Vous savez par chez nous on se laisse pas facilement faire mais j'ai bien peur là d'être aller un peu loin ...
*se retournant vers Mlle de Saint Béryl*
Mademoiselle je n'ai qu'une chose à vous dire, écoutez votre coeur ! Si vous l'aimez, aimez le mais si le roi ne le veut pas aimez le en cachette ...
¤Et bin voila tu pouvais te retenir ! ¤