sortant du bal

*elle sétait enfuie comme elle pouvait du bal.....ne voulait plus voir personne, et savait qu'ici, elle laisserait aller ses larmes sans personne pour la gêner*
Non..non je ne veux pas me marrier..jamais...le seul homme que j'aime c'est...c'est phillipe.......
*essuye ses larmes quand elle sent une main serrée sur son bras elle se retourne violemment*
Laisse moi guillaume!

*L'homme était recouvert d'un masque de chat...il laissait aparaitre un sourire étincellant....*
Guillaume? Il n'y a pas de guillaume ma belle ici...rien que toi et moi.....maintenant tu vas gentillement me suivre.....
*Il sourit méchamment*
Sans faire d'histoire bien entendu......

*Arrive en courant, elle avait vu un homme louche s'approcher de Mademoiselle Pauline.*
Hein! Qui êtes-vous?

Lachez moi qui etes vous?Lachez moi.....
*elle se débat violemment*
>Lachez tout de suite mon bras où je hurle.....elle tend le bras pour retirer le masque quand il la claque violemmenty*
Lache qui etes vous?
Elle esquive un geste pour lui prendre son épée quand il la repousse en disant*
petite niaise penses tu donc que je ne t'ai pas vu?Si bien sur ma poupée
*elle le voit s'approcher,elle recule quand elle se retrouve entre lui et la fontaine il tente de l'embrasser mais elle détourne la tete....tout d'un coup,il lui prend le visage dans les mains et l'embrasse*
Lachez moi!rustre!
*elle hurle aussi fort que possible*
A ma garde aidez moi!
*il la claque*
Guillaume.... Phillipe.....Portos d'artagnan
*c'est un cri déchirant elle est tétanisée...elle retrousse ses jupes et se prépare a partir en courrant...;elle le dépasse sans difficulté mais a du mal a courrir et sans qu'il la ratrappe...*
Voyons pauline fuirait tu quelqu'un qui t'aimes?
*elle le regarde transie de peur*
Vous...connaissez mon nom.... qui etes vous?
Mais mo nenfant tout le monde connait ce nom a la cour....notamment le roi....et comment va ce sot de duc du maine?
*pauline est prise d'une rage subite en entendant cette insulte, et d'un geste lui prend son épée*
Répétez le encore une fois et je n'hésite pas a m'en servir...
*Il rit*
Petite sotte crois tu te battre co,ntre moi?
*il sort un pistolet*
Guillaumeee.... a l'aide à moi.....

*Ne sait que faire, décide de défendre son amie. Court vers elle.*
Mais on l'attaque! Mademoiseeeeeeelle! Ah! Un pervers!
*Se prépare à attaquer l'homme, pourtant elle ignore tout du combat (surtout à mains nues)...*

*Guillaume était arrivé en courrant il vit l'homme masqué près de sa soeur*
Lachez là......
*L'homme rit mesquin...*
Tu crois ça petit.....
*il ressera son étreinte ce qui faisait qu'il tenait pauline par la taille*
Lachez moi lachez moi!
*Gulllaume s'avança avec une profonde rage*
J'ai dit lachez ma soeur
*il articulait les mots bien distinctement*
*l'homme le regarda*
Puisque vous voulez des convenances "il ne me siert guère d'accéder a votre requête" sa veut dire NON!
*pauline profite d'un moment d'inatention pour le claquer*
*Il la lache*
pas bougé poupée.....
*mais elle ne l'entend pas de cette oreille quand en entendant son frere crier c'est pour s'apercevoir qu'il est blessé.....*
Non...Guillaume...non....
Ne t'inquiètes pas pauline...
*elle s'évanouit....dans les bras du duc.....quand elle reprend ses esprits, le méchant est parti mais son frere git a terre*
guillaume...guillaume non.... estelle aidez moi...elle prend le bras de son frere...amenons le dans mes appartements....

*A assisté à la scène et est à présent sans voix : Mademoiselle est sauvée! Mais son frère est blessé! Les larmes lui montent aux yeux.*
<Mais qui était cet homme? À propos d'homme... François! Oh mon Dieu, je l'ai laissé au bal...>
*S'excuse infiniment auprès de Mademoiselle, disant qu'elle ne peut pas l'aider. File, encore anxieuse.*

*elle amrmonne dans ses dents*
Merci de ton aide estelle....
*elle porte son frere et s'aperçoit avec surprise qu'il a du perdre énormément de poids car elle n'a pas de mal a le porter....*
*les larmes lui brouillent la vue*
Merci guillaume merci......là...c'est fini....

*Honteuse, crie qu'elle la rejoindra dans ses appartements, lorsqu'elle aura prévenu François.*
N'allez pas jaser, oh, désolée, désolée! Mais je crois bien que je tiens à cet homme...
*Rougit si fort qu'on le voit de loin.*